Saucisses au Beaujolais de la maison Begein

Saucisse au Beaujolais : une tradition revisitée pour les gourmets

Manger et boire du Beaujolais nouveau, c’est possible avec la saucisse au Beaujolais de la charcuterie vendéenne Paul Begein.

C’est à partir du 3ème jeudi de novembre que l’on peut profiter du Beaujolais nouveau, ce vin primeur de la vallée du Rhône. En 2024, c’est à compter du jeudi 21 que l’on se posera la récurrente question « a-t-il un goût de banane, de fruits rouges… »
Traditionnellement, on le sert avec une planche de charcuterie. Depuis sept ans, la charcuterie vendéenne Begein va plus loin en proposant une saucisse au Beaujolais. Vous allez ainsi pouvoir, en même temps, manger et boire du Beaujolais nouveau !
Cette PME familiale, de Saint-Malô-du-Bois, accompagne à sa manière cette tradition du vin nouveau avec sa saucisse au Beaujolais produite de manière saisonnière. Elle sera en effet disponible du 18 au 29 novembre dans la boutique de cette charcuterie. Vous pouvez également la trouver dans certaines grandes surfaces de la région des Pays de Loire.

La saucisse au Beaujolais

La saucisse au Beaujolais de la charcuterie Begein est réalisée avec 2 morceaux du porc : l’épaule et la gorge. À la préparation des viandes, sont ajoutés l’assaisonnement et le Beaujolais. La mêlée est ensuite embossée avec du boyau naturel pour obtenir cette saucisse.

Pour la cuisson de cette saucisse au Beaujolais, son producteur propose au choix à la poêle ou au four. Possibilité aussi de la préparer pochée comme pour une potée.

La maison Begein

Cette célèbre charcuterie, fondée en 1936 dans le bocage vendéen par Paul Begein, compte 42 salariés sur son site de production de 3 500 m². Jambons, pâtés, terrines, boudins, andouilles, saucissons… et bien évidemment saucisses !
Cette charcuterie travaille le porc français et s’approvisionne en Vendée et dans les départements limitrophes. Depuis trois générations, cette maison artisanale reçoit des porcs entiers en carcasse. Ses employés se chargent de les préparer pour ensuite les transformer en produits de charcuterie.

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